Donc, la première partie de ce roman commence par une pulsion suicidaire et se termine en batucada. C’est la même pulsion, finalement, celle de ne plus chercher de sens à l’existence en en pressant la fin, en s’oubliant dans une foule en fête. Il y a des moments où il faut que quelque chose se passe, basculer par la fenêtre, danser parmi les ruines et les sœurs d’âme en costume d’oiseau de paradis: à la faucheuse, préférer les frangines au ventre souple. Hâte de passer à la deuxième partie, celles des fantômes et des amitiés neuves. On se demande ce qui nous est arrivé, que l’on n’a pas senti se produire mais qui est là, gisant devant la mer tel un grand bois flotté.

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Thème : Overlay par Kaira.