Le goût des lieux communs réactionnaires, des fausses solutions ressassées jusqu’à la nausée, l’autoritarisme, le contrôler et le punir, associé à un fonctionnement clanique de type maffieux : voici le genre de pouvoir démocratique que nous nous sommes mis sur le dos par le biais des élections. Il a dans les mains l’arme nucléaire et une infinité de moyens de nuire plus aisément accessibles. La question de la survie de la planète, du vivant, lui est étrangère, l”humain est une variable ajustable. Il n’a donc aucun scrupule à embrasser les dictateurs assassins, à médailler les pollueurs, à serrer des mains sales mais puissantes. Après lui l’apocalypse. En attendant, il proclame la réduction des vacances scolaires pour les mômes des quartiers.
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