Hier avec la psy, questionnement sur la charge mentale qui pèse sur celleux dont l’engagement social et politique occupe une place importante dans leur vie. Comment sortir du cercle des préoccupations politiques, des engagements, dans ce monde où presque rien ne se passe comme on le voudrait, quand le pouvoir tombe systématiquement dans les mains de qui en fait mauvais usage (y-a-t-il un bon usage du pouvoir?), quand on a été empoisonnée au capitalisme dès l’âge fœtal? Je ne sais pas faire. L’amitié permet de soulever pour un moment la chape de béton, par le partage des mêmes aspirations. On n’est pas seule et c’est déjà beaucoup.
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