Ne veut laisser la journée finir sans écrire quelques mots ici. Deux choses. L’une, que ce texte, dont je me suis promis l’achèvement pour le 30, sera. L’autre, que parler avec une collègue autrice assise à la même table d’un salon du livre des Yvelines, découvrir que les travers et bizarreries que je croyais particulières dans mon rapport à l’écriture sont éprouvées par une personne dont j’aime et estime le travail, allège le poids des doutes mêlés à celui des incompréhensions d’au moins la moitié. Allez, on continue.
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