Il y a dans les quartiers de banlieue, la campagne de Creuse ou d’ailleurs, dans les maisons de ville, de mer et par les champs, des femmes et des hommes qui réconcilient avec le genre humain. De ces personnes rares nul n’entend jamais parler, ou si peu, à l’occasion quelquefois d’un procès qu’on leur fait pour s’être comportés comme des êtres sensibles, moraux, partageux, humains. Pourtant ces personnes inventent, trouvent des solutions, aident les autres, créent, fabriquent, cultivent, accueillent. Imaginons une carte ou serait matérialisés par un point ces lieux volontairement en rupture des causes du désastre actuel. Un réseau global d’entraide et de survie contre le capitalisme qui finira bien par avoir notre peau sans révolution complète. Cette carte avec ces points de vie luisants d’espoir, je me l’afficherais bien en vue dans la maison, elle me redonnerait le courage qui trop souvent s’épuise.
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