La lutte des classes. Mais face à celle solide bien organisée des corrompus richissimes qui se serrent les coudes malgré les crasses qu’ils peuvent se faire entre eux, avec leurs laquais au pouvoir leur servant la soupe d’avantages fiscaux et blanchiment divers: rien. L’émiettement du précariat, des souffrances sociales, de l’exploitation. Alors ils imposent la loi, pressent le citron davantage, plus de travail moins d’aides pour ceux et celles qui n’ont rien d’autre que leur maigre paye et squelettiques allocations. En guise de langage, le mensonge. L’incitation à la haine des étrangers. La menace. Surveillance, contrôle, suspicion généralisée. Et les bombes atomiques entre les mains des mafieux.